Le coup de force de la Seleka qui avait évincé du pouvoir le nième dictateur centrafricain, François Bozizé à réveiller un autre débat politique entre les fils de ce pays, et a aussi attiser l’appétit des politiciens qui rivalisent de démagogies et de mensonges pour se mettre en vedette. Chose grave, beaucoup ont repris la rengaine chère aux occidentaux en brandissant le spectre de l’islam comme source du problème de leur pays. D’autres encore, plus sourcilleux arguent sans ambages que les troubles qui perdurent dans leur pays sont les faits des étrangers et des pays voisins, oubliant de facto, que la RCA, comme bon nombre de pays africains était mal parti dès le début de son accession au pouvoir.
La Centrafrique était déchirée aux premières lueurs des années par l’intransigeance de ses dirigeants, ce qui avait conduit à des nombreux coups d’état militaires, à l’intervention de nombreuses armées étrangères et des groupes rebelles aussi violents que barbares comme l’armée de résistance du seigneur(LRA) ougandais, les miliciens violeurs de Jean Pierre Bemba, des coupeurs de route venus du Tchad et du Soudan, etc. Ces faits témoignent à suffisance, que les dirigeants de la république centrafricaine, ont montré leur dissension et leur malveillance à ne pas vouloir s’attendre pour le bien du pays et de ses fils. Beaucoup des dirigeants centrafricains qui accèdent au pouvoir, deviennent très vite des véritables clowns politiques, des mégalomanes et des girouettes voguant au gré des humeurs de leur parrain.
Bokassa, véritable dirigeant plongé dans une crise identitaire, devient maréchal empereur à vie, Ahmed et surtout atypique tyran. Bozizé, un autre dictateur, croit fort comme le fer qu’il est investi d’une mission divine de diriger son pays qu’il considère comme son jardin propre, son domaine foncier, sa tire lire. Même évincé du pouvoir, il croit y revenir par tous les moyens : par les armes, les urnes, etc. En nous référant au passé de ce pays, qui en dépit de ses sources minières importantes, stagne toujours dans la pauvreté, nous pouvons dire aux dirigeants centrafricains de changer de changer de fusil d’épaule, de cesser d’être des pantins, de se voir les yeux dans les yeux pour laver leurs linges sales en famille, au lieu de crier aux sorcières et de jeter le bébé et l’eau de bain, en criant haut et fort que leur malheurs viennent des autres.
La Centrafrique était déchirée aux premières lueurs des années par l’intransigeance de ses dirigeants, ce qui avait conduit à des nombreux coups d’état militaires, à l’intervention de nombreuses armées étrangères et des groupes rebelles aussi violents que barbares comme l’armée de résistance du seigneur(LRA) ougandais, les miliciens violeurs de Jean Pierre Bemba, des coupeurs de route venus du Tchad et du Soudan, etc. Ces faits témoignent à suffisance, que les dirigeants de la république centrafricaine, ont montré leur dissension et leur malveillance à ne pas vouloir s’attendre pour le bien du pays et de ses fils. Beaucoup des dirigeants centrafricains qui accèdent au pouvoir, deviennent très vite des véritables clowns politiques, des mégalomanes et des girouettes voguant au gré des humeurs de leur parrain.
Bokassa, véritable dirigeant plongé dans une crise identitaire, devient maréchal empereur à vie, Ahmed et surtout atypique tyran. Bozizé, un autre dictateur, croit fort comme le fer qu’il est investi d’une mission divine de diriger son pays qu’il considère comme son jardin propre, son domaine foncier, sa tire lire. Même évincé du pouvoir, il croit y revenir par tous les moyens : par les armes, les urnes, etc. En nous référant au passé de ce pays, qui en dépit de ses sources minières importantes, stagne toujours dans la pauvreté, nous pouvons dire aux dirigeants centrafricains de changer de changer de fusil d’épaule, de cesser d’être des pantins, de se voir les yeux dans les yeux pour laver leurs linges sales en famille, au lieu de crier aux sorcières et de jeter le bébé et l’eau de bain, en criant haut et fort que leur malheurs viennent des autres.